vendredi 6 février 2015

ثورة الانترنت بالمغرب

 الانترنت يعود من جديد


 



Un minimum de 800.000 usagers de drogues au Maroc



La prevalence (outil de mesure statistique médicale) moyenne de l'usage des drogues, en dehors du tabac, est entre 4 et 5% de la population adulte, soit un minimum de 800.000 usagers, selon le rapport annuel de l'Observatoire national des drogues et des addictions (ONDA). Plus de 95% de ces usagers (quelque 750.000 personnes) sont consommateurs de cannabis, alors qu'entre 50.000 et 70.000 marocains présentent un usage problématique d'alcool.




Jeunes lycéens usagers de cannabis 

Selon le rapport, qui estime que 1 lycéen sur 5 a déjà fumé une cigarette et 1 sur 10 a touché
au cannabis, il est question d'élaborer un programme national de prévention diversifié et
adapté culturellement, surtout pour les jeunes et les populations vulnérables, d'établir la
loi sur l'interdiction de la vente de tabac et de drogues près des établissements scolaires
et de créer descellules de counseling et d'aide psychologique dans les établissements
scolaires et universitaires.


Le rapport conclut que le tabac est la drogue la plus consommée au Maroc, suivie du cannabis,
de l'alcool, des benzodiazépines (Une classe de médicaments psychotrope utilisés dans le
traitement de l'anxiété) détournées de leur usage, de la cocaïne, de l'héroïne, des solvants et
autres colles (particulièrement pour le enfants de la rue), puis des amphétamines.


Cannabis, alcool, cocaine, benzodiazépines...


L'ONDA recommande de créer des programmes spécifiques de prévention et de traitement
sur le lieu du travail et dans le milieu carcéral, de renforcer la politique de réduction de risques, 
d'augmenter le prix du tabac tout en contrôlant le marché noir, d'élaborer des programmes
spécifiques pour les addictions sans substances, et de lutter contre le stigma lié à la dépendance 
et aux comportements d'usage.

L'étude préconise également la promotion des droits des patients dépendants d'accéder aux
soins adaptés, la gratuité de soins pour les plus démunis d'entre eux, l'accompagnement des
actions et initiatives de la société civile et le renforcement de la coopération entre tous les
acteurs concernés par la question d'usage de drogues.

800.000 usagers de drogues au Maroc

Tabac, vers l’interdiction dans les lieux publics ?
















Le Maroc compte actuellement plus de 800.000 usagers de drogue, vient de révéler le rapport de l’Observatoire national des drogues et des addictions (ONDA) publié aujourd’hui.


La prévalence moyenne de l’usage des drogues, en dehors du tabac, est entre 4 et 5% de la population adulte, soit un minimum de 800.000 usagers, selon le rapport annuel de l’Observatoire national des drogues et des addictions (ONDA).

Plus de 95% de ces usagers (quelque 750.000 personnes) sont consommateurs de cannabis, alors qu’entre 50.000 et 70.000 marocains présentent un usage problématique d’alcool, relève l’ONDA dans sa synthèse de la situation de drogues au Maroc pour 2014.

Face à cette situation, l’étude, qui met en avant « les atouts du Maroc en matière de gestion globale de la problématique de consommation de drogues et la volonté de lutter contre ce phénomène de manière pragmatique, globale, multidimensionnelle et humaniste », recommande de mettre en œoeuvre des programmes de réhabilitation communautaires et adaptés. Elle préconise aussi de mettre à exécution l’interdiction de l’usage de tabac dans les lieux publics.


Un lycéen sur cinq a déjà fumé une cigarette 

il est question également d'élaborer un programme national de prévention diversifié et adapté culturellement, surtout pour les jeunes et les populations vulnérables, de légiférer sur l'interdiction de la vente de tabac et de drogues près des établissements scolaires et de créer des cellules de counseling et d'aide psychologique dans les établissements scolaires et universitaires.

Ces mesures sont d'autant plus nécessaires que la moitié des lycéens ont une perception banalisante de l'usage de drogues, alors qu'un lycéen sur trois s'est vu offrir une drogue à proximité de l'établissement scolaire, lit-on dans cette étude, qui note aussi que l'usage de benzodiazépines détournées de leur usage médical est plutôt l'apanage des lycéennes.


Une solution recommandée par l'ONDA

L'observatoire recommande également de créer des programmes spécifiques de prévention et de traitement sur le lieu du travail et dans le milieu carcéral, de renforcer la politique de réduction de risques, d'augmenter le prix du tabac tout en contrôlant le marché noir, d'élaborer des programmes spécifiques pour les addictions sans substances, et de lutter contre le stigma lié à la dépendance et aux comportements d'usage.

L'étude préconise également la promotion des droits des patients dépendants d'accéder aux soins adaptés, la gratuité de soins pour les plus démunis d'entre eux, l'accompagnement des actions et initiatives de la société civile et le renforcement de la coopération entre tous les acteurs concernés par la question d'usage de drogues.




                                الشباب و ثورة الانترنت في المغرب


         أفاد تقرير جديد أصدرته "وحدة مختبر المستهلك" في شركة "إريكسون" لسنة 2015، تنامي استعمال الانترنيت في المغرب
      حيٹ أوضح التقرير أن عدد السكان الذين يستخدمون التكنولوجيا يسجل نموا متواصلا بالمغرب علما أن ارتفاع استخدام الانترنيت يقف وراءه الشباب، ممن تتراوح أعمارهم ما بين 15 و24 سنة، وأن 70 في المائة من المغاربة المقبلين على شراء هاتف خلال سنة 2015، سيقتنون هاتفا ذكيا على غرار باقي سكان المغرب العربي.

        وينظر المغاربة إلى التكنولوجيا، حسب ذات التقرير، بشكل ايجابي ويعتبرونها رافعة للتغيير في مجتمعاتهم، معربين عن رغبتهم في أن تمتد فوائدها للقطاعات الأساسية الأخرى من حياتهم اليومية؛ كالتجارة والخدمات العمومية.

  • الانترنيت من اجل تغيير سلوك المستخدمين

        تعتبر الهواتف الذكية، حسب هذه الدراسة، محركا أساسيا  لتغيير سلوك المستخدمين، لأنه يساهم في تعزيز الولوج إلى خدمات الأنترنيت النقال: 87 في المائة من أصحاب الهواتف الذكية يلجون فعلا إلى الأنترنيت النقال، بينما تبلغ النسبة 14 في المائة لدى مستخدمي الهواتف التقليدية التي تتوفر على إمكانية الولوج للأنترنيت.

       كما تظهر الدراسة كيف أن  المزواجة بين الانترنيت النقال عالي الصبيب والهواتف الذكية، تسمح للمستخدمين من الولوج إلى تطبيقات قادرة على تحسين حياتهم وعملهم وكذا صحتهم.

  • الانترنيت من اجل تسهيل الحياة اليومية

       هناك إمكانيات هائلة وكبيرة في استخدام التطبيقات في مجالات الحكومة الإلكترونية والصحة الإلكترونية، والتعليم الإلكتروني والتجارة المتنقلة.وينتظرون من السلطات العمومية مواكبة إدخال التكنولوجيا لتطوير خدمات الإدارة العمومية لتسهيل حياة المرتفقين: مثلا أخذ عقود الازدياد بطريقة إلكترونية عبر استعمال الهواتف النقالة أو اللوحات الرقمية، مما سيمكن من ربح الوقت وأيضا متابعة طلبات الحصول على هذه العقود.

       فالمستخدم المغربي ينتظر أيضا خدمات، من طرف الشركات أو الإدارات، يمكن استعمالها على الهاتف النقال  عوض التنقل إلى مكان الشركة أو الإدارة، كتأدية فواتير الكهرباء (الفاتورة الرقمية)..كما يمكن تأدية ثمن تذكرة قطار أو الطيارة أو مقابلة لكرة القدم عبر الهواتف الذكية عبر ما يسمى ب"الموبابيل تيكيتينغ".

Consommateurs de drogues, le nombre qui fait peur.




Au Maroc, la consommation des drogues est bien inquiétante, environ 6% de la population adulte, soit un minimum de presque 800 000 consommateur, se donnent à la consommation de drogues, selon le rapport annuel de l'Observatoire national des drogues et des addictions (ONDA).

95% de ces usagers, soit un minimum de presque 750 000 personnes, se donnent à la consommation du cannabis, alors qu'entre 50 000 et 70 000 marocains, ont une consommation anormale d'alcool.

Tout en prenant en considération que, selon le rapport, 1 lycéen sur 5 a déjà fumé une cigarette et 1 sur 10 a touché au cannabis, l'obligation s'impose d'élaborer un programme national de prévention diversifié et adapté culturellement, surtout pour les jeunes et les populations vulnérables", ou encore "l'’interdiction de la vente de tabac et de drogues près des établissements scolaires".

 Le rapport conclut que le tabac est la drogue la plus consommée au Maroc, suivie du cannabis, de l'alcool, des benzodiazépines détournées de leur usage, de la cocaïne, de l'héroïne, des solvants et autres colles (particulièrement pour le enfants de la rue), puis des amphétamines.


Dans ce sillage, l'ONDA appelle à maintenir et renforcer la connaissance épidémiologique et promouvoir la recherche, il recommande également de créer des programmes spécifiques de prévention et de traitement sur le lieu du travail et dans le milieu carcéral, d'augmenter le prix du tabac tout en contrôlant le marché noir, d'élaborer des programmes spécifiques pour les addictions sans substances, et de lutter contre le stig
ma lié à la dépendance et aux comportements d'usage.

Rapport : un minimum de 800,000 usagers de drogues au Maroc


Un Joint au marocaine ( Hachisch )
Selon le rapport annuel de l’Observatoire national des drogues et addictions, 5% de la population adulte marocaine est droguée, soit 800.000 drogués. Le phénomène prend de l’ampleur chez les lycéens notamment.

La prévalence moyenne de l’usage des drogues, en dehors du tabac, est entre 4 et 5% de la population adulte, soit un minimum de 800.000 usagers, selon le rapport annuel de l’Observatoire national des drogues et des addictions (ONDA).

Plus de 95% de ces usagers (quelque 750.000 personnes) sont consommateurs de cannabis, alors qu’entre 50.000 et 70.000 marocains présentent un usage problématique d’alcool, relève l’ONDA dans sa synthèse de la situation de drogues au Maroc pour 2014.
Face à cette situation, l’étude, qui met en avant « les atouts du Maroc en matière de gestion globale de la problématique de consommation de drogues et la volonté de lutter contre ce phénomène de manière pragmatique, globale, multidimensionnelle et humaniste », recommande de mettre en œoeuvre des programmes de réhabilitation communautaires et adaptés. Elle préconise aussi de mettre à exécution l’interdiction de l’usage de tabac dans les lieux publics.

                                                  Enquête exclusive sur la drogue à l'école.

UN LYCÉEN SUR DIX A FUMÉ DU CANNABIS


Selon le rapport, qui estime qu’un lycéen sur 5 a déjà fumé une cigarette et un sur 10 a touché au cannabis, il est question également d’élaborer un programme national de prévention diversifié et adapté, surtout pour les jeunes et les populations vulnérables. L’ONDA appelle de même à légiférer sur l’interdiction de la vente de tabac et de drogues près des établissements scolaires et de créer des cellules de conseil et d’aide psychologique dans les établissements scolaires et universitaires.
Ces mesures sont d’autant plus nécessaires que la moitié des lycéens banalise l’usage de drogues, alors qu’un lycéen sur trois s’est vu offrir une drogue à proximité de l’établissement scolaire, dixit l’ONDA, qui note aussi que l’usage de benzodiazépines détournées de leur usage médical est plutôt l’apanage des lycéennes.
Le rapport conclut que le tabac est la drogue la plus consommée au Maroc, suivie du cannabis, de l’alcool, des benzodiazépines détournées de leur usage, de la cocaïne, de l’héroïne, des solvants et autres colles (particulièrement pour le enfants de la rue), puis des amphétamines.
Dans ce sillage, l’ONDA appelle à maintenir et renforcer la connaissance épidémiologique et promouvoir la recherche, à poursuivre la qualification des ressources humaines, à accélérer le programme d’extension de l’offre de soins sur tout le territoire et à consolider la palette de soins existante dans les régions les plus touchées.

استهلاك المخدرات بالمغرب

استهلاك المخدرات بالمغرب

أفاد التقرير السنوي للمرصد الوطني للمخدرات والإدمان بأن متوسط عدد مستعملي المخدرات، باستثناء التبغ، يتراوح ما بين 4 و 5 بالمائة في صفوف الساكنة الراشدة، أي ما لا يقل عن 800 ألف شخص.

وأوضح المرصد ضمن تقريره المتعلق بالمخدرات بالمغرب برسم سنة 2014، أن أزيد من 95 بالمائة من هؤلاء (حوالي 750 ألف شخص)، يتعاطون مادة القنب الهندي، في حين يستهلك ما بين 50 ألف و 70 ألف مغربي الكحول بإفراط.

وفي مواجهة هذه الوضعية، أوصت الدراسة، التي أبرزت “مؤهلات المغرب في مجال التدبير الشمولي لإشكالية استهلاك المخدرات والإرادة الواضحة لمكافحة هذه الظاهرة بشكل عملي وشمولي ومتعدد الأبعاد وإنساني”، بتفعيل برامج لإعادة التأهيل الجماعي والمناسب، وتفعيل منع التدخين في الأماكن العمومية.

وحسب التقرير، الذي يعتبر أن تلميذا بالثانوي من أصل خمسة سبق له تدخين سيجارة وأن واحدا من أصل عشرة قد تعاطى للقنب الهندي، فإن الأمر يتعلق أيضا ببلورة برنامج وطني للوقاية، يتسم بالتنوع والملاءمة الثقافية، خاصة بالنسبة للشباب والساكنة الهشة، وتشريع منع بيع التبغ والمخدرات قرب المؤسسات التعليمية وإحداث خلايا للاستشارة والمساعدة النفسية داخل المؤسسات التعليمية والجامعية.

وأضاف التقرير أن هذه الإجراءات تعد ضرورية بالنظر لكون نصف عدد تلاميذ الثانويات يعتبرون التعاطي للمخدرات أمرا عاديا، في حين أن تلميذا من أصل ثلاثة بالمستوى الثانوي تلقى عرضا بتناول مخدر قرب المؤسسة التعليمية، مسجلا أن تعاطي مهدئات “البنزوديازيبين” خارج الإطار الطبي يعد ممارسة ترتبط بتلاميذ الثانويات.

وخلص التقرير إلى أن التبغ يعد المخدر الأكثر استهلاكا بالمغرب، متبوعا بالقنب الهندي والكحول، وإدمان “البنزوديازيبين” خارج الاستعمال الطبي، والكوكايين والهيروين وكذا بعض أنواع المحاليل والمواد اللاصقة (خاصة بالنسبة لأطفال الشوارع) ثم المنشطات (الأمفيتامينات).

وفي هذا السياق، دعا المرصد الوطني للمخدرات والإدمان إلى الحفاظ على مستوى المعرفة الوبائية وتعزيزها وتشجيع البحث، ومواصلة تأهيل الموارد البشرية وتسريع برنامج توسيع عرض العلاجات ليشمل كافة التراب الوطني وكذا تدعيم حزمة العلاجات القائمة في المناطق الأكثر تأثرا.

وأوصى المرصد أيضا بإحداث برامج خاصة للوقاية والعلاج بأماكن العمل والوسط السجني، وتعزيز سياسة تقليص المخاطر، والرفع من ثمن التبغ مع مراقبة السوق السوداء، وبلورة برامج خاصة بالنسبة للإدمان دون مواد، ومكافحة الوصم المرتبط بالإدمان وسلوكات الاستعمال.

ودعت الدراسة أيضا إلى النهوض بحقوق المرضى المدمنين في الولوج إلى العلاجات الملائمة ومواكبة ومجانية العلاج بالنسبة للأكثر عوزا، ومواكبة مبادرات المجتمع المدني وتعزيز التعاون بين كافة الفاعلين المعنيين بمسألة تعاطي المخدرات.

وترتكز الدراسة أساسا على البحث الوطني لتتبع الأسر بشأن الاضطرابات العقلية وتعاطي المخدرات 2006، والمشروع المتوسطي للتحقيق المدرسي حول الكحول والمخدرات 1 و 2 لسنتي 2009 و 2013، وأبحاث العينات الموجهة في صفوف متعاطي المخدرات عن طريق الحقن في منطقة الشمال.



lundi 12 janvier 2015

80% des Marocains ignorent l’identité de leurs élus locaux

Exclusif. Une enquête menée par Averty et la Fondation Abderrahim Bouabid sur les prochaines élections municipales confirme le peu d’intérêt des Marocains envers les élections locales ou législatives.

Cela peut choquer, mais à quelques mois des élections communales une grande partie de Marocains ne savent pas qui exerce le pouvoir décisionnaire au niveau local, et moins de la moitié ont l’intention de voter lors des prochaines élections. C’est l’une des conclusions que l’on peut tirer de l’enquête menée par la Fondation Abderrahim Bouabid et l’institut de sondage Averty auprès de 1 038 personnes durant le mois de décembre 2014, et dont les résultats doivent être annoncés lors d’une conférence de presse ce vendredi 9 janvier à 17h à Rabat.

mercredi 7 janvier 2015

Attentat contre "Charlie Hebdo"

L'attaque du siège du journal Charlie Hebdo, situé dans le 11e arrondissement de Paris, par deux individus armés d'une kalachnikov et d'un lance-roquettes a fait au moins 12 morts. Parmi les victimes, le journaliste et dessinateur Charb, qui était aussi directeur de la publication, ainsi que les dessinateurs Georges Wolinski, Tignous et Cabu. Sur place, François Hollande dénonce "un attentat terroriste. (...) Par rapport à un journal qui avait été plusieurs fois menacé et qui était protégé, il faut faire bloc", déclare le président de la République. Une chasse à l'homme s'est engagée dans Paris.